AA Comme une bouteille à la mer Another quarrel with my mother I pretend to be deaf, I slam the door To forget, I fool around with my friends, wandering around a block (building) My face Paroles: Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois, J'me sens, comme une bouteille à la mer, j'vais où l'flot de la vie m'mène, Jne l'ai eue que pour un flirt. J'me sens comme un bouteille à la mer. Noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie. Comme une bouteille à la mer. J'me sens comme une bouteille à la mer (x12) SOS. Comme une bouteille à la mer à la recherche d'un navire. Qu'on puisse me repêcher et lire c'qu'il y a dans mon coeur. Lala-la-la-la-la-la-la-la La-la-la-la-la-la-la-la-la La-la-la-la-la-la-la-la-la Si il n'y a que des preuves d'amour Pour toi, je ferai la guerre Pour vivre en paix dans tes bras Je n'crie jamais "au secours" Pour ça, je suis trop fière Même si ça m'éloigne de toi Quand il faut parler d'amour Je prends le large comme bouteille à la mer Commeune Bouteille à la Mer>> Paroles *07. El Barrio *08. Justicier>> Paroles *09. Ayie Mama>> Paroles *10. Au Front *11. La Vie m'a Appris *12. Psy4 *13. Zone de Quarantaine *14. A l'instinct>> Paroles *15. Enfants de La Lune >> (ft. Anna Torroja)Paroles *16. Dans les Bras de Gabriel>> Paroles Jai loppportunité de vous mettre lalbum mais kom je sais ke notre monde Vay Tiền Trả Góp Theo Tháng Chỉ Cần Cmnd. [u][b]Demain, c'est loin[/b][/u] [i][b]La putain de chanson qui dure 10 minutesn avec un débit impossible - tu finis la gorge asséchée...[/b][/i]by IAML'encre coule, le sang se répand, la feuille buvardAbsorbe l'émotion, sac d'image dans ma mémoireJe parle de ce que mes proches vivent et de ce que je voisDes mecs coulés par le désespoir qui partent à la dériveDes mecs qui pour de shit se déchirentJe parle du quotidien, écoute bien mes phrases font pas rireRire, sourire, certains l'ont perdu je pense à MomoQui m'a dit à plus jamais, je ne l'ai revuTenter le diable pour sortir de la galère, t'as gagné frèreMais c'est toujours la misère pour ce qui pousse derrièrePousse pousser au milieu d'un champs de bétonGrandir dans un parking et voir les grands faire rentrer les rondsLa pauvreté, ça fait gamberger en deux temps trois mouvementsOn coupe, on compresse, on découpe, on emballe, on vendA tour de bras, on fait rentrer l'argent du crackOuais, c'est ça la vie, et parle pas de rmi ici ici iciIci, le rêve des jeunes c'est la Golf gti, survet' TachiniTomber les femmes à l'aise comme manySur Scarface, je suis comme tout le monde je délire bienDieu merci, j'ai grandis, je suis plus malin, lui il crève à la finLa fin, la faim, la faim justifie les moyens, 4, 5 coups malsainsEt on tient jusqu'à demain, après on verra bienOn marche dans l'ombre du malin du soir au matinTapis dans un coin, couteau à la main, bandit de grand cheminChemin, chemin, y'en a pas deux pour être un dieuFrapper comme une enclume, pas tomber les yeux, l'envieux en veutUne route pour y entrer deux pour s'en sortir, 3/4 cuirRéussir, s'évanouir, devenir un souvenirSouvenir être si jeune, avoir plein le répertoireDes gars rayés de la carte qu'on efface comme un tableau tchpaou!c'est le noirCroire en qui, en quoi, les mecs sont tous des mirroirsVont dans le même sens, veulent s'en mettre plein les tirroirsTirroir, on y passe notre vie, on y finit avant de connaître l'enferSur terre, on construit son paradisFiction, désillusion trop forte, sors le chichonLa réalité tape trop dure, besoin d'évasionEvasion, évasion, effort d'imagination, ici tout est grisLes murs, les esprits, les rats la nuitOn veut s'échapper de la prison, une aiguille passe, on passe à l'actionFausse diversion, un jour tu pètes les plombsLes plombs, certains chanceux en ont dans la cervelleD'autres se les envoient pour une poignée de biftons, guerre fraternelleLes armes poussent comme la mauvaise herbeL'image du gangster se propage comme la gangrène sème ses grainesGraines, graines, graine de délinquant qu'espérez-vous? Tous jeunesOn leur apprend que rien ne fait un homme à part les francsAu franc tireur discret au groupe organisé, la racine devient champsTrop grand, impossible a arrêtéArrêté, poisseux au départ, chanceux à la sortieOn prend trois mois, le bruit court, la réputation granditLes barreaux font plus peur, c'est la routine, vulgaire épineFine esquisse à l'encre de Chine, figurine qui parfois s'animeS'anime, anime animé d'une furieuse envie de monnaieLe noir tombe, qu'importe le temps qu'il fait, on jette les dés, faut flamberPerdre et gagner, rentrer avec quelques papiers en plusCa aidera, personne demandera d'où ils sont tombésTomber ou pas, pour tout, pour rien on prend le risque, pas grave cousinDe toute façon dans les deux cas, on s'en sort bienVivre comme un chien ou un prince, y'a pas photoOn fait un choix, fait griller le gigot, brillent les joyauxJoyaux, un rêve, plein les poches mais la cible est loin, la flècheRicoche, le diable rajoute une encoche trop moche les mecs cochentLeur propre case, décoche pour du cash, j'entends les cloches,les coups de piocheCreuser un trou, c'est trop fastocheFastoche, facile le blouson du bourgeois docile des mêmes la hantiseEt porcelaine dans le pare-briseTchac! le rasoir sur le sac à main, par ici les talbinsCa c'est toute la journée, lendemain, après lendemainLendemain? C'est pas le problème, on vit au jour le jourOn n'a pas le temps ou on perd de l'argent, les autres le prennentDemain, c'est loin, on n'est pas pressé, au fur et à mesureOn avance en surveillant nos fesses pour parler au futurFutur, le futur ne changera pas grand-chose, les générations prochainesSeront pires que nous, leur vie sera plus moroseNotre avenir, c'est la minute d'après le but, anticiperPrévenir avant de se faire clouerClouer, clouer sur un banc rien d'autre à faire, on boit de la bièreOn siffle les gazières qui n'ont pas de frèreLes murs nous tiennent comme du papier tue-mouchesOn est là, jamais on s'en sortira, Satan nous tient avec sa fourcheFourche, enfourcher les risques seconde après secondeChaque occasion est une pierre de plus ajoutée à nos frondesContre leurs lasers, certains désespèrent, beaucoup touchent terreLes obstinés refusent le combat suicidaireCidaire, sidérés, les dieux regardent, l'humain se diriger vers le mauvaisCôté de l'éternité d'un pas décidéPréfèreront rôder en bas en haut, on va s'emmerderY'a qu'ici que les anges vendent la fuméeFumée, encore une bouffée, le voile est tombéLa tête sur l'oreiller, la merde un instant estompéePar la fenêtre, un cri fait son entrée, un homme se fait braquerUn enfant se fait serrer, pour une Cartier menottéMenotté, pieds et poings liés par la fatalitéPrisonnier du donjon, le destin est le geôlierLe teurf l'arène on a grandi avec les jeuxGladiateur courageux, mais la vie est coriace, on lutte comme on peutDans les constructions élevéesIncompréhension, bandes de gosses soi-disant mal élevésFrictions, excitation, patrouilles de civilsTrouille inutile, légendes et mythes débilesHaschich au kilo, poètes armés de styloRéserves de créativité, hangars, silosCa file au bloc 20, pack de Heineken dans les mainsOublier en tirant sur un gros jointPrincesses d'Afrique, fille mère, plastiquePlein de colle, raclo à la masse lunatiqueEconomie parallèle, équipe dure comme un rocPetits Don qui contrôlent grave leurs spotsOn pète la Veuve Cliquot, parqués comme à MexicoHorizons cimentés, pickpockets, toxicosPersonnes honnêtes ignorées, superflics, ZorrosPoliticiens et journalistes en visite au zooMusulmans respectueux, pères de famille humblesBaffles qui blastent la musique de la jungleEntrées dévastées, carcasses de tires éclatéesNuée de gosses qui viennent gratterLumières oranges qui s'allument, cheminées qui fumentParties de foot improvisées sur le bitumeGolf, VR6, pneus qui crissentSilence brisé par les sirènes de policePolos Façonnable, survêtements minablesMères aux traits de caractère admirablesChichon bidon, histoires de prisonStupides divisions, amas de tisonsClichés d'Orient, cuisine au pimentJolis noms d'arbres pour des bâtiments dans la forêt de cimentDésert du midi, soleil écrasantVie la nuit, pendant le mois de RhamadhanPas de distractions, se créer un peu d'actionJeu de dés, de contrée, paris d'argent, méchante attractionRires ininterrompus, arrestations impromptuesMaires d'arrondissement corrompusMarcher sur les seringues usagées, rêver de voyagerAutoradios en affaire, lot de chaînes arrachéesBougre sans retour, psychopathe sans pitiéMeilleurs liens d'amitié qu'un type puisse trouverGénies du sport faisant leurs classes sur les terrains vaguesNouvelles blagues, terribles techniques de dragueIndividualités qui craquent parce que stresséesPersonne ne bouge, personne ne sera blesséVapeur d'éther, d'eau écarlate, d'alcoolFourgon de la Brink's maté comme le pactoleC'est pas drôle, le chien mord enfermé dans la cageBave de rage, les barreaux grimpent au deuxième étageDealer du Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois, J'me sens, comme une bouteille à la mer, j'vais où l'flot de la vie m'mène, loin de tout, même de ma mère. La vie m'a offert la solitude de Robinson, J'voudrais repeindre ma vie, mais je n'trouve pas le bon pinceau. Certains ont fait le grand saut, mariés, des enfants, nous lâchent leurs discours de réussite, leur vie est mieux qu'avant, c'est ce qu'ils nous disent. J'vois d'la lassitude dans leur regard mais eux au moins ont essayé d'sortir de leur brancard, moi, j'ai l'impression d'avoir raté des tas de trains, pourtant je n'ai jamais quitté l'quai, la preuve les jeunes me squattent, ça craint. Le temps a soufflé sur ma vingt-cinquième bougie, j'en suis même pas sur, j'suis toujours dans le même logis, dans la même logique; le piano des Feux de l'Amour pour m'réveiller, la petite sœur pour m'faire à grailler. Brailler, j'l'ai fait pour un rien. Pour m'calmer j'rappe, d'autres roulent, voilà un manque de moyen et rien Une femme, des fois j'me dis que c'est la pire arnaque d'la vie d'un homme, certains disent qu'une d'elle viendra un jour éclairer mon ombre. J’espère le voir d'cet angle, pour l'instant les couteaux qu'j'ai sur mes omoplates ont des traces de rouge à ongle. Mais bon la vie faut la vivre, donc j'la vis, fuis les vitres brisées d'mon existence, continue navigue, même dans l'vide J'vire à tribord, prends la fuite, à travers mes lignes te décris mes rides Me construit un mythe, oblige, J'sens qu'mon pouls ralentit faut qu'j'laisse une trace d'un mec honnête ou d'un gros bandit, rien à foutre, faut qu'j'prouve que j'ai été vivant, si tu penses que j'dois voir un psy, dis-toi qu'j'n'ai qu'le rap comme divan. M'man la marrée est haute, et j'me laisse emporter par les vagues, elles sont trop fortes, j'voudrai t'dire que j't'aime mais j'ai trop le trac, marque mon front de ton sourire, s'il te plait oublie toutes les fois où j't'ai fait souffrir J'sais qu'l'effort est une force que j'maitrise peu et j'sais aussi qu'c'est le parapluie qu'il faut quand sur tes joues il pleut Mais dans ma tête j'entends des coups de flingue incessants, un braconnier a laissé des plumes de colombe, plein de sang. J'voulais apprendre à donner, j'ai appris à tout manger apprendre à pardonner, j'ai appris à me venger, j'voulais apprendre à aimer, j'ai appris à haïr j'ne voulais pas ramer, j'l'ai fait, avec un gros navire j'ai voulu éviter la pluie, j'l'ai affronté en t-shirt j'la voulais pour la vie, j'ne l'ai eu que pour un flirt, J'me sens, comme une bouteille à la mer, noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie Comme une bouteille à la mer, j'me sens... ad libitum SOS Comme une bouteille à la mer, à la recherche d'une ville d'un navire qu'on puisse me repêcher et lire ce qu'il y a dans mon cœur, ce qu'il y a en moi Comme une bouteille à la mer, j'me sens... Paroles2Chansons dispose d’un accord de licence de paroles de chansons avec la Société des Editeurs et Auteurs de Musique SEAM Hi, could anyone please translate this to english, Encore une prise de bec avec ma mère, J'fais le sourd, claque la porte, pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block. La visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge, J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois, J'me sens, comme une bouteille à la mer, j'vais où l'flot de la vie m'mène, loin de tout, même de ma mère. La vie m'a offert la solitude de Robinson, J'voudrais repeindre ma vie, mais je n'trouve pas le bon pinceau. Certains ont fait le grand saut, mariés, des enfants, nous lachent leurs discours de réussite, leur vie est mieux qu'avant, c'est ce qu'ils nous disent. J'vois d'la lassitude dans leur regard mais eux au moins ont essayé d'sortir de leur brancard, moi, j'ai l'impression d'avoir raté des tas de trains, pourtant je n'ai jamais quitté l'quai, la preuve les jeunes me squattent, ça craint. Le temps a soufflé sur ma vingt-cinquième bougie, j'en suis même pas sur, j'suis toujours dans le même logis, dans la même logique; le piano des Feux de l'Amour pour m'réveiller, la petite soeur pour m'faire à grailler. Brailler, j'l'ai fait pour un rien. Pour m'calmer j'rappe, d'autres roulent, voilà ... Une femme, des fois j'me dis que c'est la pire arnaque d'la vie d'un homme, certains disent qu'une d'elle viendra un jour éclairer mon ombre. J'éspère le voir d'cet angle, pour l'instant les couteaux qu'j'ai sur mes omoplates ont des traces de rouge à ongle. Mais bon la vie faut la vivre, donc j'la vis, fuis les vitres brisées d'mon existance, continue navigue, même dans l'vide J'vire à tribord, prends la fuite, à travers mes lignes te décris mes rides Me construit un mythe, oblige, J'sens qu'mon pouls ralentit faut qu'j'laisse une trace d'un mec honnête ou d'un gros bandit, rien à foutre, faut qu'j'prouve que j'ai été vivant, si tu penses que j'dois voir un psy, dis-toi qu'j'n'ai qu'le rap comme divan. M'man la marrée est haute, et j'me laisse emporter par les vagues, elles sont trop fortes, j'voudrai t'dire que j't'aime mais j'ai trop le trac, marque mon front de ton sourire, s'il te plait oublie toutes les fois où j't'ai fait souffrir J'sais qu'l'effort est une force que j'maitrise peu et j'sais aussi qu'c'est le parapluie qu'il faut quand sur tes joues il pleut Mais dans ma tête j'entends des coups de flingue incessants, un braconnier a laissé des plumes de colombe, plein de sang. J'voulais apprendre à donner, j'ai appris à tout manger apprendre à pardonner, j'ai appris à me venger, j'voulais apprendre à aimer, j'ai appris à haïr j'ne voulais pas ramer, j'l'ai fait, avec un gros navire j'ai voulu eviter la pluie, j'l'ai affronté en t-shirt j'la voulais pour la vie, j'ne l'ai eu que pour un flirt, J'me sens, comme une bouteille à la mer, noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie Comme une bouteille à la mer, j'me sens... ad libitum SOS Comme une bouteille à la mer, à la recherche d'une ville d'un navire qu'on puisse me repêcher et lire ce qu'il y a dans mon coeur, ce qu'il y a en moi Comme une bouteille à la mer, j'me sens... ...thanks Soprano vous propose Châteaux de sable, le single issue de son album La Colombe et Le Corbeau. Les paroles ont été ajoutées en octobre paroles de Châteaux de sable ont fait l'objet d'une relecture, cependant, il est possible qu'il y ait encore des erreurs. N'hésitez pas à proposer vos corrections par clip de Châteaux de sable est disponible ci-dessous. C'est sous le préau des collèges la première fois qu'on s'est touché les lèvres Depuis mes yeux te chantent ne me quitte pas de Brel Je me rappelle on se parlait qu'avec des poèmes On passait des nuit blanches à s'endetter chez SFR On refaisait le monde avec le pinceau de notre utopie On se racontait nos vies comme lors d'une thérapie On rêvait d'une grande famille au bord de mer, d'une grande cérémonie après le OUI devant le maire C'était nous contre le monde et ça quoi qu'il arrive Pire quand mon épiderme t'a rendu orpheline On s'était promis de voyager sur le dos d'un éléphant traverser les océans pour s'échouer sur une ile Tu rêvais d'être infirmière et moi d'être avocat On s'est jurés que nos enfants auraient la Baraka On croyait que notre amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne se résume pas qu'a I love you .. [Refrain] On croyait que l'amour nous suffirait On croyait que l'amour nous sauverait On croyait que l'amour nous protégerait Mais la vie avec le temps nous a volé nos rêves .. Soprano 6 ans plus tard j'ai l'impression que les nuages ne pleurent que sur nos têtes Agent de sécu ça ne suffit pas pour rembourser nos dettes Femme de ménage ça ne suffit pas pour remplir les assiettes De ces bijoux qui n'ont jamais demandé à naître Dis moi A quoi sert mon bac +5? A quoi sert d'être un homme honnête quand tu ne peux pas mettre à l'abri les gens que t'aime Dis moi, je perds la tête aide moi Car les problèmes me font aimer la bouteille Aide moi Les années nous ont changé et la routine a volé nos promesses Dans nos vies familiales , on bat de l'aile et on se crache des noms d'oiseaux à force d'avoir des prises de bec Malgré ça, je connais tes sentiments pour moi Pourtant aujourd'hui on se parle qu'a travers nos avocats On croyait que l'amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne résume pas qu'a I love you.. [Refrain] Awa Imani Et si on m'avait dis un jour qu'on en arriverait là Je ne l'aurais pas cru Nous qui étions si liés que nous est-il arrivé ? Que nous est-il arrivé ? [Refrain] On croyait que l'amour nous suffirait Soprano On croyait que l'amour nous sauverait Awa Imani On croyait que l'amour nous sauverait Soprano On croyait que l'amour nous suffirait Awa Imani On croyait que l'amour nous protégerait Soprano On croyait que l'amour nous protégerait Awa Imani Cette vie nous a volé nos rêves.. Soprano C'est sous le préau des collèges la première fois qu'on s'est touché les lèvres Depuis mes yeux te chantent ne me quitte pas de Brel Je me rappelle on se parlait qu'avec des poèmes On passait des nuits blanches à s'endetter chez SFR On refaisait le monde avec le pinceau de notre utopie On se racontait nos vies comme lors d'une thérapie On rêvait d'une grande famille au bord de mer, d'une grande cérémonie après le OUI devant le maire C'était nous contre le monde et ça quoi qu'il arrive Pire quand mon épiderme t'a rendu orpheline On s'était promis de voyager sur le dos d'un éléphant traverser les océans pour s'échouer sur une ile Tu rêvais d'être infirmière et moi d'être avocat On s'est jurés que nos enfants auraient la Baraka On croyait que notre amour nous protégerait de tout Mais la vie de couple ne se résume pas qu'a I love you .. Merci CelYne pour les paroles Note Loading... Le clip vidéo de Châteaux de sable Télécharger le MP3, acheter le CD Audio ou la sonnerie de Châteaux de sable Liens pour les lyrics de Châteaux de sable Pour votre site / blog, copiez cette adresse BBCode pour un forum, utilisez ce code Paroles Encore une prise de bec avec ma mère J'fais le sourd, claque la porte Pour oublier j'ricane avec mes potes en tapissant un block Le visage plongé dans les étoiles, noyé dans ma gamberge J'cherche une île, une berge, ou au moins un bout d'bois J'me sens, comme une bouteille à la mer J'vais où l'flot de la vie m'mène Loin de tout, même de ma mère La vie m'a offert la solitude de Robinson J'voudrais repeindre ma vie, mais je n'trouve pas le bon pinceau Certains ont fait le grand saut, mariés, des enfants Nous lâchent leurs discours de réussite, leur vie est mieux qu'avant C'est ce qu'ils nous disent J'vois d'la lassitude dans leur regard Mais eux au moins ont essayé d'sortir de leur brancard Moi, j'ai l'impression d'avoir raté des tas de trains Pourtant je n'ai jamais quitté l'quai La preuve, les jeunes me squattent, ça craint Le temps a soufflé sur ma vingt-cinquième bougie J'en suis même pas sûr J'suis toujours dans le même logis, dans la même logique Le piano des Feux de l'Amour pour m'réveiller La petite sœur pour m'faire à grailler Brailler, j'l'ai fait pour un rien Pour m'calmer j'rappe, d'autres roulent Voilà nos deux moyens aériens, une femme Des fois j'me dis que c'est la plus grosse arnaque d'la vie d'un homme Certains disent qu'une d'elles viendra un jour éclairer mon ombre J'espère le voir d'cet angle Pour l'instant les couteaux qu'j'ai sur mes omoplates ont des traces de rouge à ongle Mais bon, la vie faut la vivre, donc j'la vis Fuis les vitres brisées d'mon existence Continue, navigue, même dans l'vide J'vire à tribord, prends la fuite, à travers mes lignes, te décris mes rides Me construis un mythe, oblige, j'sens qu'mon pouls ralentit Faut qu'j'laisse une trace d'un mec honnête ou d'un gros bandit Rien à foutre, faut qu'j'prouve que j'ai été vivant Si tu penses que j'dois voir un psy, dis-toi qu'j'n'ai qu'le rap comme divan M'man, la marrée est haute, et j'me laisse emporter par les vagues Elles sont trop fortes, j'voudrais t'dire que j't'aime mais j'ai trop le trac Marque mon front de ton sourire S'il te plaît, oublie toutes les fois où j't'ai fait souffrir J'sais qu'l'effort est une force que j'maîtrise peu Et j'sais aussi qu'c'est le parapluie qu'il faut Quand sur tes joues il pleut Mais dans ma tête j'entends des coups de flingue incessants Un braconnier a laissé des plumes de colombe, plein de sang J'voulais apprendre à donner, j'ai appris à tout manger Apprendre à pardonner, j'ai appris à me venger J'voulais apprendre à aimer, j'ai appris à haïr J'ne voulais pas ramer, j'l'ai fait, avec un gros navire J'ai voulu éviter la pluie, j'l'ai affronté en t-shirt J'la voulais pour la vie, j'ne l'ai eu que pour un flirt J'me sens, comme une bouteille à la mer Noyé dans les vagues de la mélancolie d'la vie Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, comme une bouteille à la mer Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens Comme une bouteille à la mer, j'me sens J'me sens comme une bouteille à la mer, Comme une bouteille à la mer Rachid Ait Baar, Saïd M'Roumbaba Kobalt Music Publishing Ltd.

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